Sécurité
Trampoline à la maison : un jeu dangereux
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- Catégorie : Sécurité
- Publication : jeudi 18 août 2016 09:57
Les trampolines sont devenu de plus en plus populaires ces dernières années, mais avec leur nombre croissant dans les jardins, on constate une augmentation du nombre d'accidents dus à leur utilisation.
Les trampolines sont « dangereux » pour les enfants. Les enfants de moins de 6 ans sont particulièrement vulnérables. 75% des blessures arrivent lorsque plusieurs personnes sautent sur le trampoline en même temps, tandis que les tentatives ratées de saut périlleux ou de salto provoquent des blessures cervicales qui peuvent avoir des conséquences très graves.
Conseil de sécurité :
Utilisez uniquement un trampoline doté d’un filet de protection et installez-le sur un sol plat et mou amortissant.
Le trampoline ne doit être utilisé que par un enfant à la fois.
Les détecteurs de fumée (DAAF) et de monoxyde de carbone (DAACO)
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- Catégorie : Sécurité
- Publication : mercredi 29 janvier 2014 10:12
Pourquoi cette fiche
Chaque année, des décès ou des accidents graves sont dus à des émanations toxiques dans les habitations, liées à des combustions vives ou lentes. Les deux causes principales sont les incendies souvent dus à des disfonctionnement électriques, et les émanations de monoxyde de carbone (CO) à cause de poêles, ou de cheminées à feu ouvert.
Dans l'un et l'autre cas, il existe des détecteurs d'alarme qui permettent de prévenir les accidents grâce à des sirènes ou sonneries. La plupart sont peu onéreux.
Toutefois, certains ne sont pas conformes aux normes, donc dangereux.
Il est donc indispensable d'abord (au moment de l'achat) de s'assurer qu'ils correspondent aux normes et d'installer ces appareils de façon utile.
Agir pour la sécurité des familles
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- Catégorie : Sécurité
- Publication : mardi 6 août 2013 15:34
Chaque année, des membres d'une famille, toutes générations confondues, sont victimes d'un accident de la vie courante (AcVC) dû au mauvais fonctionnement ou à des difficultés d'utilisation d'un objet ou d'un appareil (bouteilles, fours, boîtes de conserve, coupures, brûlures, etc.).
Dans de nombreux cas, ce n'est ni la fatalité, ni la maladresse, et des solutions peuvent exister, à condition que ces accidents soient connus et qu'ils soient analysés pour trouver des solutions. C'est le rôle de la Commission de Sécurité des Consommateurs que toute victime de ce type d'accident peut saisir (http://www.securiteconso.org/).
La CSC est une autorité administrative indépendante, composée de représentants des professionnels et des consommateurs, de personnalités qualifiées et de magistrats des hautes juridictions. Elle est chargée d'émettre des avis destinés aux pouvoirs publics, aux professionnels et aux consommateurs, sur tous types de produits et de services dangereux.
Quand signaler un problème de sécurité ?
En cas d'accident ou de simple risque lié à l'utilisation d'un produit ou d'un service, à l'exclusion des risques professionnels.
Qui peut le faire ?
Toute personne physique ou morale, particulier, association de consommateurs, professionnel, administration. Les autorités judiciaires peuvent demander l'avis de la Commission (article L. 224-3). En outre, la Commission peut se saisir elle-même
A qui signaler un problème de sécurité ?
Le produit que vous avez acheté s'avère défectueux et dangereux, la prestation de service dont vous avez bénéficié vous a exposé à des risques d'accidents... Si ces risques sont la conséquence d'un défaut de conception ou d'un manque d'information du consommateur, vous pouvez alerter la Commission de la sécurité des consommateurs (CSC).
Dans son avis adopté le 22 mars 2012, la CSC (commission de la Sécurité des Consommateurs) vient d'émettre des recommandations pour mieux concilier chaleur et sécurité et ainsi réduire les risques de brûlures liées au contact avec des appareils de chauffage. L'avis porte non seulement sur les radiateurs classiques mais aussi sur des appareils dont la fonction de chauffe est secondaire et/ou masquée, comme les sèche-serviettes chromés ou les miroirs chauffants, avec lesquels les risques sont accrus.
S'il est impossible d'atteindre un risque zéro, il convient cependant de définir et de respecter un seuil de température « acceptable », ne provoquant pas de brûlure supérieure au premier degré (soit les effets d'un coup de soleil). Plusieurs référentiels scientifiques fixent ce seuil à 50°C.
La CSC recommande aux pouvoirs publics d'imposer un marquage à la fois visible, lisible et indélébile, indiquant les températures maximales des parois directement accessibles et comportant une mise en garde contre les risques de brûlure.
Les autorités sont également appelées à prendre des mesures afin que les appareils de chauffage domestiques (qu'ils soient alimentés avec de l'électricité ou avec une autre énergie) dont les températures de surface sont susceptibles de générer des brûlures du second degré ne puissent être directement accessibles.
Elle invite les distributeurs et les installateurs à informer les consommateurs des températures maximales susceptibles d'être atteintes par les parois directement accessibles et les risques qu'elles peuvent engendrer.
Elle recommande aux consommateurs de privilégier l'achat d'appareils dont les surfaces accessibles ne présentent pas de risques de brûlures et, dans le cas contraire, de les équiper de grilles de protection.